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Michelangelo Pistoletto – Il Terzo Paradiso

Michelangelo Pistoletto
Il Terzo Paradiso


Avec la participation de 500 étudiants genevois des institutions suivantes :
Centre de Formation Professionnelle Arts Appliqués, Institut Florimont, Ecole Moser, Ecole Internationale de Genève, Collège Madame de Staël, Association Plumes Genevoises et Association Ekphrasis des étudiants en Histoire de l’art à l’Université de Genève.

 

En 1984, le Centre consacre à Michelangelo Pistoletto (1933) une exposition personnelle et publie un catalogue de ses sculptures. L’année suivante, l’artiste prend part à l’exposition en plein air du Centre, Promenades.

En 2014, Michelangelo Pistoletto revient au Centre, dans le cadre d’une collaboration entre Città dell’arte – Fondazione Pistoletto et l’ONU pour l’évènement Forest for Fashion, avec une performance sur la Plaine de Plainpalais intitulée Il Terzo Paradiso, qui implique 500 jeunes étudiants sous la direction artistique de la chorégraphe genevoise Prisca Harsch (Cie Quivala).

Il Terzo Paradiso est le symbole créé par l’artiste pour promouvoir un nouvel équilibre de la planète. A partir du signe de l’infini, dont le premier cercle symbolise le paradis de la nature et le deuxième celui du monde artificiel de l’homme, aujourd’hui en déséquilibre, l’artiste introduit un troisième cercle, Il Terzo Paradiso, pour rétablir l’équilibre perdu entre le monde de la nature et le monde de l’artifice. La performance sur la Plaine de Plainpalais reconstruit en mouvements chorégraphiques le symbole du Il Terzo Paradiso.

Michelangelo Pistoletto est l’un des artistes emblématiques du mouvement de l’Arte Povera qui se développe en Italie à la fin des années 60, dont ses Minus Objects (1967) sont considérés comme fondamentaux dans l’émergence du mouvement. Lorsque le critique italien Germano Celant trouve le terme d’Arte Povera en 1967 pour désigner ce mouvement, Michelangelo Pistoletto est déjà un artiste de renom. Avec ses Mirror Paintings, produits entre 1961 et 1962, il se fait une place sur la scène internationale. Images grandeur nature découpées et collées sur des structures métalliques réfléchissantes, les Mirror Paintings incluent le spectateur dans l’œuvre, jouant ainsi sur la notion de temporalité et sur l’opposition entre mouvement et statisme, surface et profondeur. A la fin des années 1990, Michelangelo Pistoletto fonde Città dell’arte – Fondazione Pistoletto, dans le but de placer l’art au centre des activités humaines – économie, politique, culture, mode – et de promouvoir avec des interventions artistiques un développement durable et responsable.

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